[Journal] L'Est Républicain "Un Jour une histoire"

L'Est Républicain a consacré un article à Amaury sur sa participation au music hall de Kirrwiller en septembre.



L'article complet recopié:

L'Est Républicain
Un Jour, une histoire.

Bruno Susset a écrit:

Kirrwiller. Amaury Vassili sera l'invité d'honneur en septembre prochain et pour un mois seulement de la nouvelle revue "Farouche" du fameux music hall alsacien.

Il l'a bien descendu ! Les marches du grand escalier du Royal Palace de Kirrwiller n'ont pas fait trébucher Amaury Vassili. Le jeune ténor de 24 ans originaire de Rouen, a fait ses premiers pas sur l'impressionnant plateau du music hall niché dans la campagne alsacienne. Une véritable institution qui, avec ses revues à grand spectacle tient la dragée haute aux productions parisiennes.
En septembre prochain, et pour un mois seulement, le chanteur qui prépare la sortie de son 4eme album en novembre, sera l'invité d'honneur de la nouvelle revue "Farouche". Pour l'heure il a fait le tour du propriétaire, guidé par Pierre Meyer, le directeur, qui lui a montré sa (belle) maison : deux restaurants de 800 et 150 couverts, des cuisines ultramodernes, une salle de spectacle de 1000 places équipée du plus grand écran à leds haute définition d'Europe (16m par 6.5!)

Il chantera seul mais pas seulement. Car il a volontiers accepté de se mêler à plusieurs tableaux de la revue.

"Avec un succès pareil, j'avais entendu parler de ce cabaret, mais je ne m'attendais pas à un truc aussi balèze!" confie Amaury Vassili visiblement très impressionné.
Petit tour dans les loges, les coulisses aux plafonds desquels sont suspendus les costumes, les dessous de la scènes qui révèlent une partie de la machinerie qui permet, grâce à des trappes et des vérins de faire apparaître sur le plateau comme par magie chanteurs, danseurs....
Une usine à rêve qui en met plein les yeux. Le jour de sa visite, Amaury Vassili a joué les boys pour une séance de photo et le tournage d'un clip. Un rien intimidé il a avoué ensuite par l'essaim des girls (joliment) dénudées et emplumées qui l'entouraient, tandis qu'il interprétait un de ses succès, emprunté à Mozart.
"Pourquoi chanté du Vincent Delerm quand on peut chanter du Pavarotti !" lance t-il spontanément pour évoquer son parcours et le créneau atypique qu'il occupe sur la scène française, ravi d'ajouter une corde musicale à son arc, même s'il dit ensuite "n'avoir pas spécialement envie de se lancer dans la comédie musicale." "Non c'est juste chouette de se fondre dans l'univers d'un cabaret."

A la rentrée, il offrira ainsi au public du Royal Palace quatre ou cinq de ses titres. Qu'il chantera seul, mais pas seulement. Car il a volontiers accepté de se mêler à plusieurs des tableaux de la revue. Comme il a prévu de partager, en toute simplicité le quotidien de la troupe lors de son séjour en Alsace.
"J'ai hâte de mieux les connaîtres.", a t-il confié entre deux échanges avec Franck Sherbourne, le directeur musical et vocal, un ancien de la Starmania.
Tout en écoutant, en élève attentif soucieux d'apprendre et de bien faire, les conseils du chorégraphe Sergey Novikov. C'est qu'on ne s'improvise par boy du jour au lendemain!