Les archives de la carrière d'Amaury Vassili, chanteur de lyrical-pop.
 
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 [Interview] Idoles Mag

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Marine
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MessageSujet: [Interview] Idoles Mag    [Interview] Idoles Mag  Icon_minitimeLun 16 Déc - 9:21

Bonjour à tous! Pour ceux qui l'aurais pas lu voici une longue interview d'Amaury pour Idoles Mag.

http://www.idolesmag.com/interview-458-Amaury-Vassili.html


Amaury Vassili se produira les 17 & 18 janvier prochains sur la scène de l’Alhambra (Paris 10ème). Nous avons donc été à sa rencontre afin d’en savoir un peu plus sur son nouveau spectacle. Il nous expliquera notamment que celui-ci sera composé de deux parties distinctes, une plus classique, l’autre nettement plus rock. Il nous en parlera longuement. Au cours de notre entretien, nous aurons également l’occasion d’évoquer avec lui son récent concert à Séoul et son début de carrière en Asie qui se présente sous les meilleurs auspices, son apparition dans la revue « Farouche ! » au Royal Palace de Kirrwiller, son précédent album (« Una parte di me ») sorti il y a un peu plus d’un an maintenant, et la préparation du quatrième, attendu pour mai prochain.

IdolesMag : Vous chanterez les 17 et 18 janvier prochains sur la scène de l’Alhambra. Pourquoi et comment avez-vous choisi cette salle ?

Amaury Vassili : Tout simplement parce que c’est une des salles mythiques sur Paris. Il n’y a que quelques salles reconnues comme celle-là. L’Alhambra fait partie de ces salles à côté desquelles on ne peut pas passer. J’ai eu la chance de faire mon premier Olympia à 18 ans. L’Alhambra, c’est un peu la continuité. Je n’ai jamais eu la chance de me produire dans cette salle auparavant, donc pouvoir y chanter deux dates, c’est déjà un très beau cadeau en soi. Et en plus, c’est une très belle salle, donc, je pense que ce ne va être que du bonheur.

Est-ce que ça va être le lancement d’un nouveau tour de chant ou la continuité de celui que vous avez déjà entamé ?

C’est le lancement d’un nouveau tour de chant. Disons que c’est le lancement officiel ! On a pris du retard par rapport aux tournées normales, c’est un fait. Pour la bonne et simple raison qu’on a voulu créer quelque chose de particulier dans ce show, à savoir deux parties bien distinctes. Et ces parties sont censées représenter ce qui fait mon style musical, qui est au croisement du lyrique et de la pop, bien que sous ce nom de pop, on puisse y glisser toutes les influences musicales modernes. Donc, on va retrouver à l’Alhambra une partie très classique qui reprend toutes les plus grandes chansons que j’ai eu la chance d’interpréter sur mes deux premiers albums. Et sur la deuxième partie, ce sera un mélange de mon troisième album et de quelques titres plus rock. Il y aura des influences de plein d’origines. Il y a notamment certaines chansons que je vais chanter parce qu’elles sont la suite logique de l’expérience que j’ai eue avec « Un Air de Star ». Je vais donc intégrer à mon tour de chant une chanson comme « Georgia on my mind » de Ray Charles. Il y aura plein de petites surprises comme ça… Il y aura des chansons qui sont de véritables coups de cœur, et notamment un titre de Queen. Mais je n’en dis pas trop non plus pour ne pas tout dévoiler. Il faut garder des surprises. Je peux vous dire que ce sera, je pense, pour moi une bonne occasion de démocratiser un peu plus ce registre musical-là en essayant maintenant de prouver sur scène que ce style existe vraiment. Dans les autres pays, c’est un style à part entière et j’ai envie d’en faire un style renommé en France…. avec tous les autres collègues qui chantent dans ce registre-là, comme Il Divo, Josh Groban…

On a tendance à vouloir mettre une étiquette bien définie sur chaque genre musical…

Oui… Et je l’ai souvent dit qu’en France on mettait les artistes dans des cases. Mais je me rends compte maintenant, avec l’expérience que j’ai aujourd’hui à l’international, qu’on est obligé de se situer quelque part. La seule chose que nous pouvons faire, nous artistes, c’est de créer de nouvelles cases. Je cherche à créer une nouvelle case en France, en espérant qu’elle soit reconnue, pour ne pas rester entre de la variété que l’on peut qualifier d’internationale, de la musique classique et de la chanson française. Au Japon, par exemple, ils ont le Pop Opéra, c’est un registre à part entière. C’est donc aussi un peu le but de cette tournée, imposer le Lyrique-Pop comme un registre à part entière.

Vous me parlez du Japon, on va faire une petite digression sur l’Asie. Vous revenez de Séoul, je pense. Comment est-ce que ça s’est passé ?

C’était génial et… différent ! J’ai eu la chance de chanter dans le grand théâtre du Sejong Center à Séoul. Honnêtement, c’était magnifique. La scène est magnifique. C’est une scène qui tourne. Rien que pour ça, c’était une expérience assez incroyable. On était deux artistes à assurer le concert du soir. Sur une partie de la scène, il y avait mon orchestre symphonique coréen et de l’autre, l’orchestre plus pop du violoniste Taro Hakase que j’adore. Cette scène tournait selon les parties. C’était assez hallucinant. Et puis, ça a marqué aussi la rencontre avec le public coréen qui, en effet, est passionné. On sent qu’il a vraiment un amour incroyable pour les artistes. Ils aiment tout ce qui est concert et show. C’est vraiment génial de pouvoir aller à leur contact.

C’est peut-être un public, au vu de l’image qu’on en a ici, un peu plus en retenue.

Ça dépend des fois. C’est partagé. Sur certaines chansons, ils vont très vite taper dans les mains et être enjoués. Et sur certaines autres, ils vont faire preuve d’un silence presque religieux. C’est en tout cas un public très attentif et à l’écoute. C’est très difficile de décrire un type de public parce que selon les endroits, selon les moments et selon les chansons, l’émotion va changer. Comme il est difficile de cantonner à une case un artiste, il est difficile de cantonner un public à une seule case.

On va revenir un peu sur le tour de chant que vous allez effectuer à l’Alhambra. Vous allez donc, comme vous me l’avez dit, faire quelques reprises, mais allez-vous y chanter l’une ou l’autre création qui ferait un lien avec le quatrième album ?

C’est bien possible… (sourire) Je ne peux pas encore tout dire parce que justement, c’est le genre de surprise qui pourrait faire partie des petits cadeaux que l’on voudrait faire au public et ajouter spécialement pour l’Alhambra. Ce ne sont pas des titres que l’ont fait habituellement sur la tournée qui va démarrer. Allez... disons que je pense qu’il y aura peut-être quelques titres qui figureront sur le prochain album… En tout cas, je l’espère. J’aimerais offrir ce petit bonus surprise à mon public.

Quelle formation allez-vous avoir ?

Une formation de quatre musiciens. Guitare, basse, batterie et clavier. Et donc, ça me permet de basculer encore plus dans ce registre lyrique-pop. C’est vrai qu’habituellement je suis tout de même accompagné d’orchestres symphoniques, mais là, c’est très agréable de se sentir boosté par un batteur qui envoie derrière. C’est une toute autre approche musicale, mais qui n’empêche pas de pouvoir y inclure de la musique classique.

Que représente finalement la scène pour vous ? Une étape parmi les autres dans le parcours d’un artiste ou le but ultime ?

C’est un peu tout à la fois, pour être honnête. Bien évidemment il faut qu’il y ait une tournée après la promotion d’un album pour chanter les chansons à notre public. Un artiste ne se développe pas que sur disque. Il doit chanter devant et pour son public. Il y a aussi le côté aboutissement qui est naturel. Quand un artiste sort un album, c’est tout de même pour chanter les chansons. On n’a pas juste envie de les chanter en studio. Donc, le but de les chanter sur scène est là, et bien là. Après, certains se sentent plus ou moins à l’aise en studio ou sur scène, mais je pense qu’on rêve tous de monter sur scène avec un public en feu. C’est logique.


Aimez-vous la vie de tournée ?


Oh oui ! C’est super agréable. Ça permet de former une vraie équipe, j’ai envie de dire une vraie famille, avec les musiciens. C’est quelque chose qui finalement n’est pas très courant dans la musique classique pure et dure parce qu’il y a une hygiène de vie et une rigueur. On est souvent cantonné à nos loges, pour faire attention à tout un tas de choses. Là, on est dans un esprit de tournée. On partage toutes les émotions ensemble. Il n’y a pas le chanteur et ses musiciens, c’est une équipe à parte entière. On essaye de passer ensemble le plus de temps possible.

Du 23 janvier au 9 février, vous retournerez chanter au « Royal Palace » à Kirrwiller, où vous aviez déjà chanté en septembre dernier. Aimez-vous vous installer quelques jours dans le même endroit ? Apprivoiser la scène, votre loge ?


Bien sûr que c’est agréable. Après, il y a aussi un réel esprit de famille qui s’est créé aussi là-bas qui fait que maintenant, j’y ai de très bons amis. Je me réjouis de les revoir. Et donc, forcément, le plaisir est toujours au rendez-vous quand on évolue sur scène avec des gens qu’on apprécie. Il n’y a pas de doute là-dessus. Donc, effectivement, au mois de septembre, c’était une expérience tout à fait nouvelle pour moi. C’était la première fois que j’intégrais une revue comme celle-ci. Là, en janvier, ça va aussi me permettre de retrouver mon public alsacien. Ils sont très proches de moi et très présents. Les autres aussi, mais c’est vrai que je suis souvent dans l’est. Et puis, il faut croire que la demande était encore là puisque Monsieur Meyer, le patron du Royal Palace, m’a demandé si je voulais encore assumer quelques dates à cette période-là, parce qu’il y avait une demande. Je lui ai dit « Allons-y, refaisons quelques dates ». Et comme j’avais une possibilité dans mon emploi du temps, ça tombait plutôt très bien ! Ça va être encore pour moi une manière d’être sur scène en continu, de ne pas perdre le contact avec la scène. Et puis aussi de revoir les amis et de refaire un beau spectacle avec plein d’artistes. Il y a un beau partage. En plus, nous sommes en province, donc, chaque soir, on est ensemble et ça crée forcément de la proximité. C’est vraiment chouette de pouvoir évoluer avec tant d’artistes différents. Il y a des cascadeurs, des acrobates, des magiciens, des danseuses, des danseurs… vraiment tous types d’artistes et de toutes nationalités. C’est donc hyper enrichissant aussi de ce point de vue-là.

Vous allez donc une nouvelle fois vous intégrer à la revue.

Voilà. Comme en septembre dernier, j’intègre trois/quatre chansons dans leur revue « Farouche ! ».

Plus généralement, êtes-vous friand de ce côté revue, paillettes ?


Oui. Je vais vous dire… je suis friand de toutes les expériences. J’aime découvrir des choses. Après, je ne sais pas si c’est quelque chose que je pourrais faire sur une année complète. Mais le but n’est pas là. Le but est vraiment de prendre un maximum de plaisir et d’expérience. Et si ma notoriété correspond à l’image du « Royal Palace », eh bien ça me va très bien. C’est très agréable de pouvoir rencontrer mon public aussi souvent.

J’aimerais revenir un instant sur « Una parte di me » qui s’est tout de même pas mal écoulé (plus de 70 000 exemplaires), alors que les singles n’ont pas été franchement bien diffusés en radio. Quel bilan tirez-vous de son exploitation un peu plus d’un an après sa sortie ?


Je suis très fier de cet album parce qu’il a déjà amorcé un virage dans la bonne direction. J’avais envie de faire entendre ces sonorités un peu plus pop, cette fois-ci. Et rien que par le biais des arrangements, qui étaient aussi guitare/basse/batterie/clavier, ça nous a permis de faire rentrer dans l’oreille de mon public qu’Amaury Vassili, ce ne sont pas que des chants classiques, c’est aussi quelque chose de plus pop et plus rock, tout en gardant le côté vocal.

Justement, sur cet album, vous vous étiez plus investi, et notamment au niveau de la composition. Allez-vous toujours dans cette direction pour le quatrième ?


Je ne sais pas justement. On hésite à faire un album avec des reprises qui me tiendraient à cœur et qui sont des mélodies incroyables. Mais je ne sais pas vraiment. Après, je travaille toujours avec plusieurs personnes sur la composition et l’écriture, mais ça prend du temps et je n’ai pas envie de faire quelque chose de mauvais ou de moyen. Donc, je prends le temps. Ce ne sera peut-être pas pour cet album-là, mais pour l’album d’après.

Ce quatrième album est annoncé pour mai, il doit tout de même être assez concret dans votre tête, à six mois de sa sortie.

Oui et non. Ça commence. J’ai souvent travaillé un peu à la dernière minute parce que j’aime aussi le côté instantané des choses. On a des idées, il y a plein de choses qui circulent. Et puis, on va se donner une période à un moment donné pendant laquelle on va bosser jour et nuit pour enregistrer cet album. C’est de là qu’il sortira vraiment. J’ai tendance à parler de mes futurs albums en amont, et finalement il se passe autre chose parce qu’après une journée d’enregistrement, on a trouvé un petit truc qui nous correspondait plus et donc on a eu envie de s’engouffrer dans cette brèche-là… Donc, là pour le moment, bien sûr que j’ai des idées. Mais tout ce que je peux vous dire, c’est que cet album aura des sonorités vraiment plus rock. Il se rapprochera d’un registre un peu similaire à celui de Queen. Alors, ce n’est pas comparable, loin de là. Je ne crois pas pouvoir me comparer à Freddie Mercury. Mais en tout cas, c’est un côté rock-symphonique que nous cherchons à avoir.

Allez-vous garder l’équipe composée de Daniel Moyne, Quentin Bachelet, etc… ?

Je ne sais pas encore. Peut-être vais-je travailler avec de nouvelles personnes ? Ce n’est pas encore décidé. On est en train d’y réfléchir. Après, c’est vrai que j’ai quelques idées précises sur la manière dont j’ai envie de mettre en musique tout ça, donc, peut-être que je vais garder la même équipe, peut-être que je vais me lancer dans quelque chose de nouveau ? Je ne sais pas… Là, en ce moment, c’est un peu l’hésitation là-dessus.

Finalement, dans quel état d’esprit êtes-vous aujourd’hui ? Vous êtes en pleine promo, vous enregistrez d’ailleurs une émission aujourd’hui, l’Alhambra et la tournée se profilent, un quatrième album se dessine… Il se passe quoi dans la tête d’Amaury Vassili en ce moment ?

Je profite surtout de l’instant présent. Il m’arrive de très belles choses et j’essaye d’en profiter plutôt que de toujours penser à la suite. Parfois, trop penser à la suite nous fait occulter certaines belles choses. Et je suis plutôt de ceux qui aiment profiter de ce qui leur arrive. Je suis très heureux d’avoir pu donner un premier concert à Séoul. Je suis très heureux de savoir aussi qu’il y en a un autre qui est en train de s’organiser pour février. Je prévois tout de même aussi un peu les choses… Je sais qu’il y a d’autres belles choses qui se profilent, comme une grande tournée au Japon et un concert à Singapour. Il y a plein de belles choses qui se sont passées, plein de belles choses qui se passent là en ce moment et plein de belles choses qui arrivent. Je ne vois pas comment je pourrais être autrement qu’heureux en ce moment. Tout se déroule bien. Et malgré les paris risqués que j’ai pu prendre parfois, tout se passe très bien.

Je vais vous poser une dernière question, qui est elle aussi d’actualité. Quel est votre plus beau souvenir de Noël ?


Mon plus beau souvenir de Noël, il date d’il y a quelques années maintenant. J’ai toujours fêté Noël avec ma famille. J’avais à l’époque ma chienne. Et on lui offrait toujours un os ou un petit cadeau. Et ce qui était génial, c’est qu’elle l’ouvrait comme un être humain. C’était toujours un petit moment sympa, on la regardait ouvrir son cadeau. C’est un souvenir qui m’a toujours marqué… Et en plus, j’adore les animaux… Donc, c’était un petit moment en famille qui nous rendait tous heureux et qui nous faisait plaisir à tous.

Propos recueillis par IdolesMag le 10 décembre 2013
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